• Nos objectifs:

Financer:

 

*Le medek par le biais d'une ergo sur Lyon (45€ la séance)
*Des séances de Padovan par une thérapeute (50€ la séance)
 *équithérapie (70€ l'heure)

 

La méthode Essentis

 

 Les premiers jours, nous realisons des tests et mettons en place une strategie de traitement afin de repondre au mieux aux motifs de consultations. Le patient passe dans differents ateliers de réeducation avec pour objectif de developper le maximum de motricité fonctionnelle:

 

  • Test et traitement en ostéopathie (musculo-squelettique cranio-sacré,viscérale, aquatique).
  • Test et traitement en Acupuncture
  • Kinésitherapie des troubles ,moteurs et/ou neurologiques
  • Theratog
  • Therasuit
  • Spider thérapie  (verticalisation active)
  • Travail du système vestibulaire
  • Travail des réflexes archaïques
  • Biofeedback protocole Methode Essentis ®
  • VLP

 Les objectifs du programme:

  • Corriger les dysfonctions musculo squelettiques, viscérales et crâniennes qui limitent la mobilité.
  • Corriger la posture et se verticaliser de façon autonome.
  • Travailler sur l’équilibre et la coordination motrice.
  • Développer au maximum la motricité fonctionnelle.
  • Améliorer la force et résistance musculaire.
  • Corriger des patrons neurologiques “erronés”.
  • Donner de l’autonomie.
  • Travailler les différentes phases motrices (sol , ramper, 4 pattes, marche en béquilles puis autonome) jusqu'à atteindre la marche.
  • Apprendre à utliser pour la maison un Theratog et le Spider

Prix des thérapies 2015

 

-Essentis 1 semaine (20 seances) : 850 €
-Essentis 1 semaine avec Biofeedback ou écoute évolutive  basée sur les travaux du docteur Tomatis (15 séances Essentis dont 5 séances de biofeedback) :950€  

-Essentis 2 semaines (40 séances) :1700 €
-Essentis 2 semaines avec Biofeedback ou écoute évolutive  basée sur les travaux du docteur Tomatis (30 séances Essentis dont 10 séances de biofeedback):1900€  

 

adresse:

 

Entitat Tutelar Sant Jordi de Catalònia Ctra. Flor de Maig, km 2’8 Cerdanyola del Vallès, Barcelona 08290

 

Source:

http://www.metodoessentis.com/info.php?sec=142&idioma=fr

 

 

L'Opération Selective Dorsale Rhizotomie (SDR)

 

Elle vise à réduire la spasticité des muscles en supprimant l’influx nerveux anormal arrivant au cerveau.

En supprimant la spasticité, une intervention précoce permet de limiter l’apparition des déformations orthopédiques et d’accroitre le potentiel d’acquisition de la marche avec un schéma moteur correct.

Cette opération consiste à sectionner, dans la colonne vertébrale, les nerfs sensitifs (et non moteurs) rattachés aux muscles des membres inférieurs, ceux concernés par la spasticité. En pratique, le neurochirurgien teste chacun des nerfs par un stimulus électrique et sectionne par la suite ceux qui ont une réponse anormale.

Si cette opération élimine la majeure partie de la spasticité définitivement, elle n’améliore pas le raccourcissement des muscles et des tendons qui sont toujours présents ; tout comme elle n’améliore pas la dystonie (mouvements incontrôlés).

 

Les candidats pour ces opérations sont ceux présentant des formes de diplégie (schéma de Little), dont les jambes ont une force relativement bonne (il faut savoir faire du 4 pattes et faire quelques pas avec ou sans aide). Par ailleurs, la motivation du patient et de sa famille doit être énorme, surtout en ce qui concerne la conformité au programme de réhabilitation en postopératoire. La rééducation est capitale dans le succès de l’opération. C’est une période ingrate qui nécessite un travail quotidien (plusieurs heures par jour) et pendant laquelle les progrès sont parfois difficiles à mesurer malgré l’investissement que cela demande

 

En Allemagne, à BONN, le Dr Haberl pratique la rhizotomie Dorsale sélective single level (il s’inspire de la méthode du Dr.Park qu’il est allé observer aux US). Il a quelques centaines de patients à son actif. L’opération en Allemagne coûte environ 20.000€

 

source :http://enorev.fr/approche-therapeutique/interventions-operatoires/

 

 

 

Chirurgie orthopédique et la Myoténofascionotomie

 

La chirurgie orthopédique chez l’enfant a trois objectifs : éviter les déformations, améliorer la fonction motrice et améliorer l’esthétique de la marche. Le chirurgien orthopédique agit, soit au niveau osseux, soit au niveau musculo-tendineux. Dans tous les cas, il faut tenir compte de la période de croissance restante. Ainsi, si un geste chirurgical est décidé chez un enfant trop jeune, le risque de devoir opérer à nouveau est important !

La chirurgie orthopédique regroupe les interventions suivantes : myotomie (section partielle du muscle) ou ténotomie (section partielle d’un tendon), rééquilibrage par transfert d’un tendon.

Ces dernières années, de plus en plus de familles d’enfants lésés cérébraux, se tournent vers l’étranger pour recourir à la Myoténofascionotomie également appelée Fibrotomie sélective fermée ou en anglais Selective Percutaneous Myofascial Lengthening (SPML). Cette intervention chirurgicale consiste à inciser une partie du fascia (membrane fibreuse qui enveloppe un muscle) en divers endroits, pour diminuer la tension dans celui-ci.

muscle

L’étude de l’acronyme anglais SPML permet d’en cerner les contours :

  1. « Selective » se réfère au choix des fibres pathologiques qui limitent les mouvements.
  2. « Percutaneous » (ou « percutanées ») : consiste à introduire du matériel par une piqure au niveau de la peau, sans réaliser d’ouverture chirurgicale. Ceci est possible grâce à un bistouri spécial développé pour la chirurgie des yeux.
  3. « Myofascial » : Myo signifie “muscle” et fascia est la membrane fibreuse faite de collagène qui enveloppe un muscle.
  4. « Lengthening » suggère l’acte de l’allongement d’un muscle, sa relaxation signifiant la libération des contractures.

 

Mais pourquoi cette approche n’est-elle pas pratiquée en France ?

 

Elle l’est ! Mais pas de manière « Percutanée ».

En bref, la myoténofasciotomie ne laisse pas de cicatrices alors que celle pratiquée en France nécessite des incisions occasionnant de petites cicatrices. Mais les médecins français le font en connaissance de cause car ils souhaitent privilégier la précision du geste : « Nous ne faisons pas de ténotomie dite percutanée car ce geste ne permet pas de contrôler exactement l’importance de la section et risque d’aboutir à une section trop importante.». Extrait du livre « Marche pathologique de l’enfant paralysé cérébral » du Pr. G.F. Penneçot (ISBN 978-2840236443).

Par ailleurs, les chirurgiens français préfèrent privilégier des interventions qu’ils appellent « multi-sites » (c’est-à-dire traitant plusieurs anomalies à la fois) et ne souhaitent pas faire une intervention uniquement pour de la « Fasciotomie ».

La myoténofasciotomie est donc de plus en plus plébiscitée par les familles car les résultats observés sont :

  • élimination de la rigidité locale
  • augmentation de l’amplitude des mouvements
  • diminution des douleurs
  • libération de la croissance des os
  • etc…

Suivant les lieux d’intervention, cela peut toucher les mains, les bras, les jambes, la mâchoire, les yeux, etc…

 

A savoir : La myoténofasciotomie ne permet pas de supprimer la spasticité, mais elle permet d’enlever les rétractions, qui sont des conséquences de la spasticité. Elle n’est pas définitive à cause de la croissance de l’enfant. Son côté « non-invasif » rassure. Cela ne veut pas dire qu’il s’agit d’un geste anodin car une mauvaise sélection des fibres à sectionner pourrait provoquer un effondrement de la voûte plantaire par exemple.

L’opération, en Europe, coûte environ 5 000€ (fonction du nombre d’incisions) et est pratiquée :

  • En Espagne, à Madrid dans une clinique privée, par le Dr Repetunov,
  • En Espagne, à Barcelone dans une clinique privée, par le Dr Nazarov,
  • En Allemagne, à Aschau, dans un hôpital public, par le Dr Doderlein.

L’association « un sourire pour l’Espoir » organise régulièrement des consultations avec le docteur Nazarov à Paris. Mais de plus en plus de familles consultent pour un deuxième avis avant de s’engager car ceux-ci sont souvent contradictoires s’il n’y a pas encore de rétractions.

 

Source :http://enorev.fr/approche-therapeutique/interventions-operatoires/